Le crépuscule du soir

[le nom du sujet est aussi un titre de poeme de Baudelaire... c'est pas choisi au hasard...]

Le soleil se couchant jetait des ombres presque menacante sur le port, rendant effrayante dans leur ombre meme les plus petites souris.

Juliette était là, sur le quai, regardant l'horizon, un peu reveuse. Voila deux jours que l'inquisition l'avait enlevé, ses craintes étaient plus calmes mais encore présentes. à sa hanche pendait fièrement une vieille épée qu'elle savait manier légèrement. Elle saurait se proteger si l'ennemi l'Attaquait, et, quiquonque la connaissant un peu était au courant du poignard qu'elle dissimulait à sa jarretière (à la facon de esmeralada dans notre-dame-de-paris).

Elel aurait voulu discuter avec Delarose, s'expliquer, tenter de ne pas briser le lien pour simplement cette stupide guerre. Elle ne comprenait pas d'ailleur pourquoi on se battait déja alors que l'antéchrist n'était meme pas né... d'ailleur, la première tentative ayant échouée, elle en aurait pour un mois a attendre avant de réessayer. Elle aurait voulu faire la paix pour se moment avec Delarose, continuer sa vie de foli pour contrer la mort si prévisible...

Sa cape noire sous laquelle elel était dissimulée était tachée de sang mais elle n'y pretait pas attention. Assise sur un gros rocher, elle regardait les reflets du soleil sur les vagues, se coupant du monde.

[comments comme ca.... maudit.... mon pere vient de mettre du disco... ra-ra-raspoutine chante joyeusement boney m....]

Delarose fit un pas et apparue les deux mains chaque coté de son corps. Alors c'est ici que vous vous morfonder sur le monde....

Il navait une épée à la hanche mais rien d'autre...( le colier n'était pas a son coup le loup lui avait couper le lien)

Je ne veux pas vous attaquez simplement parler un peut pouvons nous fiare une treve pour cette nuit....


Au loin sur le quai presque invisible a tout oeil une jeune femme regardait la scene avec une arbalete..viser sur delarose.

"Me morfondre sur le monde! non mais..... c'Est simplement que les couchers de soleil sont plus beaux ici"

Elle garda le silence quelques instants, songeant à tout ce qui, au font, l'entrainait ici. Au bout d'un moment, elle continua:

"Un trève pour la nuit? je ne dirais pas non... "

Elle porta tout de même la main à la garde de son épée, méfiante malgré tout. Elle observa autour pour s'assurer qu'il ne cachait pas des gardes prêts à l'arrêter dès qu'elle serait en confiance mais ne vit rien de dangereux. Puis, observant avec plus d'Attention, elle vit la femme.

Discrètemnet, en ayant l'air de parler de n'importe quoi elle demanda:

"Je ne sais pas qui pourrait vous vouloir du mal à part les hérétiques mais il y a une femme qui semble vous menacer de son arc..."

Olivier se retourna mais la femme n'était plus la( voix la pas c pour plus tars) .

Ce n'est pas grave. Elle monta sur des chaises et a son tour regarda le coucher de soleil... Et vos amis commetn vont t'il.

Elle fut surprise qu'il lui pose la question et, encore méfiante, répondit simplmeent;

"Bien.... tout va bien"

Elle soupira et demanda:

"Et vous? comment allez-vous? Le coup porté ne vous a pas trop fait mal?"

non seulement quelque blessure mineur ( ce n'était pas du tout vrai mais il ne voulait pas en parler). Je ne sais pas pourquoi mais je me demandait pourquoi vivé vous si pauvrment?

Arthas qui regardait la scéne au loin se demandait comment faisait-il pour ne pas s'entretuer puis ils se dit ahh des foutaises...

"Vivre pauvrement?"

Elle rit un peu.

"Je ne vis pas pauvrement... je vis d'impulsion, de moment éphémère.... l'argent n'A aucune valeur à mes yeux... sinon celle de pouvoir détruire quiquonque. Et puis, on ne choisi pas si l'on vit pauvre ou pas, l'oportunité d'avoir de l'argent se présente et on la prend ou pas. Moi, je ne prend que les petits montants pour continuer à vivre libre comme l'air"

Le regard rieur, elle lui demanda:

"Ce que vous me demandez, est aussi absurde que si je vous demandais pourquoi vous vivez richement"

Olivier allait répondre quand d'un coté une flêche lui transpersa l'épaule le projettant à terre inconsient sur le momment.
UN ombre disparue au loin.

Juliette poussa un cri de stupeur, se relevant vivement. Elle regardait la flèche, incertaine de ce qu'elle devait faire. Elle se mit à appeler du secour, effrayée.

Décrochant un petit flacon du poignard de sa jaretière, elle l'ouvrit et fit respirer le liquide odorant pour lui faire reprendre conscience.

Olivier ouvrit les yeux mais ne pouvait bouger sans pousser un crit de douleur. il se recoucha et ne bougea plus.

Elle se pencha près de lui, rapprochant leur visage.

"Olivier... je... que puis-je faire? qui puis-je alle rchercher pour vous aider?"

Elle tentait de calmer son affolement, sachant qu'appeler sa soeur ne ferait qu'envenimer les choses.

aller chercher qui .... nimporte qui vous tuerai sur le champs dans mais connaissance. Il essaya de se lever masi retomba.

Vous ne pouvez que faire quelque chose ici ou me laissé et vous enfuire..

Il disait vrai...

"Mais je... que puis-je faire? si je ne fais rien... vous continuerai à souffrir et... je ne sais pas quoi faire... je..."

Elle le forca à rester étendu, s'agenouillant près de lui.

Je ne suis pas medecin mais commencer pas casser la tige de la fleche et apres trouver de l'aide qui ne vous tura pas.

"Et qui ne vous tuera pas non plus....." ne put-elle s'empecher de soupirer.

Elle cassa la tige de la flèche, observant la facon dont la tete de la fleche s'était plantée dans son épaule.

La flèche était afoncer profondément d'en l'épaule elle avait peut-être touché le poumon juliette en savait rien.

"Connaissez-vous un bon chirurgien? je peux toujours m'y rendre vêtue de ma cape... je sais me dissimuler..."

Elle respirait profondément, tentant de se calmer. Si il mourrait.... ce serait de mauvaise augure pour elle.

Je connais pas de medecin j'ai celui de mon père mais vous ne pourrez meme pas en approcher.

N'avez vous pas quelqu'un pour vous sogner?

Elle eut un petit rire.

"Ce médecin s'appele la drogue... je n'ai jamais eu besoin de soin physique.... la drogue m'aide a oublier la douleur, le reste, je laisse la nature agir..."

Elle réfléchit quelques instants puis déclara;

"Si vous avez la force de marcher.... je pourrais vous emmener dans une partie du cimetière... une partie loin de ceux de mon clan mais qui en même temps me permettrait d'aller chercher de l'aide parmi eux..."

Si elle expliquait ses raisons à sa soeur.... peut-être voudrait-elle comprendre pourquoi elle voulait sauver cet homme qui l'avait fait souffrir.

Il se leva tranquillement et commença à marcher avec une expression de douleur a chaque pas mais il marchait.

elle l'entraina donc vers le cimtière.