soir brumeux

Par un soir brumeux, Juliette vint cogner à la porte, cherchant un peu de chaleur.

Ses vêtements étaient en sang et ses yeux, rougient par les larmes.

La jeune humaine, trop ébranlée pour s'apercevoir qu'une silhouette sombre la suivait, se rendit sans précautions au manoir d'un homme que l'ange ne connaissait pas, peut importait, sa mission c'était elle et rien d'autre.

au dernier moment, déja ébranlée par tout, elle décida de partir. C'est alors qu'elle croisa le regard de Darmek.

"Encore vous?" s'écria-t-elle "vous me suivez pour vous assurez que je ne me tuerai pas? que je serai bien sage?"

Elle sortit une bouteille d'alcool fort et la cala devant elle, la défiant du regard.

Aussi inébranlable qu'à l'habitude, Darmek la fixa de son regard froid comme du métal.

-Si je vous suis c'est uniquement pour remplir ma mission, et buvez de l'alccol tant que vous le voulez, peu m'importe, c'est vous qui souffrirez si j'ai à vous saigner une deuxième fois.

Cela ne lui faisait ni chaud ni froid, elle était habituée au sang, à son arôme, à son goût velouté et sa température chaude, elle s'abreuvait quotidiennement de se liquide couleur rouge vin ou vif, dépendamment de si elle s'attaquait aux artères aux veines de sa victime...

Au lieu de se refermer sur elle-même, elle repris de l'assurance.

"Vous êtes la personne la plus insensible que je connaisse... vous avez du vivre... non.. faire de terrible chose pour en arriver à ce point... vous avez du être aussi faible que moi pour faire ce pacte... peut-être meme plus faible... vous devez être monstrueuse... qui avez-vous tué? votre mère? votre père? votre famille entière?"

Elle eut un sourire cruel.

"Je sais.... vous avez fait un pacte pour profiter de quelqu'un.... allez... avouez vos tord... peut-être pourrais-je me comparer..."

Demeurant toujours aussi insensible qu'à son habitude, Darmek toisa Juliette d'un regard sans fond, un abisse de ténèbres...

-Votre incapacité à vous affirmez vous-même en tant que personne émotive et fragile dépasse de loin mon entendement, mais sachez que ce que vous croyez être un enfer dans votre existence, est un véritable paradis là d'ou je viens... Vous ne connaissez pas la douleur, vous ne connaissez pas la peine ou encore la rage, et j'ai fait preuve de plus de force que vous ne pourrez jamais l'imaginer pour affronter cette existence. Alors ne parlez pas si vous n'êtes pas en connaissance de cause, et ne perdez pas votre salive à articuler des mots qui ne m'atteindront jamais...

Elle s'approcha de Juliette, la saisit par la gorge et la souleva de terre sans le moindre effort.

-Cette guerre dépasse de loin votre entendement, et si vous n'êtes pas capable de voir toute la chance et l'honneur duquel vous êtes investie, je vous conseille de vous taire comme vous le faites en ce moment, ou vous connaîtrez la vraie nature de la souffrance, car c'est mon rôle, causer des souffrances et de la douleur. Et ne croyez pas qu'à cause de la mission dont vous êtes investie je vais vous ménager si vous dérapez encore une fois de la sorte.

Voyant que le teint de l'humaine tournait au violet, Darmek lâcha sa prise qui s'écrasa au sol, immobile.

elle la tenait.... elle savait quoi user comme argument pour la faire fléchir... et pourtant elle ne voulait pas aller plus loin. Elle ne risquerait pas sa vie maintenant. Elle se releva et s'éloigna, lui tournant le dos. Pourtnat, elle se retourna et lui répondit:

"Si seulement vous vouliez vous montrer moins insensible... si on ne s'entend pas, c'est parce que je le suis trop et vous pas assez... mais je ne crois pas que les chats et les chiens peuvent s'entendre à merveille... nous pourrons tout de meme tenter de s'entendre pour le bien de cette guerre"

Elle la regarda droit dans les yeux, passant toute sa sincérité par ce regard.

"L'honneur de quoi dans cette guerre? L'honneur de servir de putain pour LUI? l'honneur de me détruire pour LUI? J'espere au moins qu'IL tient ses promesses... je suis faible, mais j'ai d'autres forces ailleur, dont celui de marchander ma vie."

Arthas passa par la fôret tourna a gauche de l'arbre blanc puis marcha j'usqua une pierre en coeur puis il marcha 30 pas vers l'ouest et trouva le manoir de olivier. Il le vit en compagnie de 2 jeunes filles.

Elle lanca un regard presque provocateur à Darmek et répondit à Olivier.

"Qui pourrait refuser une telle invitation?" dit-elle avec un sourire en coin.

Elle grimpa avec lui, esperant que Darmek ne fasse rien pour l'arrêter.

Incertaine et méfiante, elle demanda a l'oreille de Olivier en pointant l'homme qui lui était inconnu:

« Qui est-ce? »

Il lui répondit dans son oreille.

C'est un ami de mon père il m'a demandé de lui parlé un peu ne vous inquiété pas vous etes en sureté avec moi.

Puis il lui donna un léger baissé.

Elle observait l'homme, méfiante malgré tout. En fait, un étrange instint lui disait de se méfier de tous.

Arthas un peu curieux demanda: Olivier ece la votre compagne?

Préférant répondre d'elle-même elle le regarda droit dans les yeux et dit:

"Tout dépend de ce que vous voulez dire par compagne... ne cherchez pas à comprendre notre relation, c'est peut-être mieu pour vous"

Elle tenait à garder ses distances face à cet homme, incertaine.

Arthas poussa un léger soupir en voyant olivier avec un rousse <surement une sorcier se dit-il>

Pouvons nous avancé pour avoir un refuge sur nos tête.

En disant c'Est mot il fit avancer le cheval vers la maison.

reprenant son masque de petite fille innocente, elle baissa la tête et se lova contre Olivier, prête à le suivre et à se laisser faire.

"Vous avez raison... il commence à faire froid..."

Une fois arrivé chez soit Olivier dit:
Cher Juliette voulait vous m'attendre dans le séjour mon domestique vous servivra nouriture et boisson pendant mon absence.

Et vous mon chère Arthas suivé moi.

( Arthas parle ou jte les dit en mp)

Arthas suiva olivier jusque a la piéce désiré..

étrangement, elle se sentait nerveuse. Marchant de long en large de la pièce, elle jouait avec son couteau, le tournant entre ses doigts, inconsciement prête à tuer.

Olivier revint dans la pièce une heure plus tard.

Désolé madame de cette attente. Si vous voulé nous pouvons monté.

elle se détendit mais garda tout de mem son poignard en main, le dissimulant parmis ses jupes.

"Oui... bien sur"

arthas sortit de la maison et apercu une jeune fille et il lui demanda

<que faites vous ici jeune demoiselle?>